64% de NON - Le peuple suisse avait déjà rejeté l'e-ID. Pourquoi nous repropose-t-on la même chose avec un emballage différent ?
C'est une tactique d'usure délibérée - faire revoter jusqu'à obtenir le "bon" résultat.
Votre dernière chance de protéger définitivement vos libertés numériques
Les faits : En 2017, une faille cryptographique majeure a compromis 760'000 cartes d'identité électroniques, soit la quasi-totalité des cartes en circulation.
L'aveu des experts estoniens : "Il faut que ce soit obligatoire pour que ce soit un succès" - Cet aveu démontre que l'obligation est inévitable une fois l'infrastructure en place.
Le mensonge officiel : Aadhaar est présenté comme "entièrement facultatif" par le gouvernement indien depuis 2009.
La réalité sur le terrain : 96% de la population (1.38 milliard de personnes) a été contrainte de s'enregistrer pour accéder aux services de base.
Le mécanisme d'obligation indirecte :
Cyberspace ID (2025) : La Chine vient de lancer son système d'identité numérique unifié qui contrôle toute l'activité en ligne des citoyens.
Ce que tous les gouvernements envient : Le modèle chinois permet un contrôle social total déguisé en "modernisation" et "sécurité".
📋 Le Monde : Analyse du système chinois Cyberspace IDOne Login (2025) : Le système d'identité numérique britannique révèle des failles de sécurité graves dès sa phase de test.
La leçon : Même avec des budgets colossaux et les meilleurs experts, les systèmes centralisés restent vulnérables.
📋 Computer Weekly : Rapport sur les failles du système britanniqueL'Autorité bancaire européenne (ABE) recommande déjà d'exiger l'e-ID pour les services financiers. L'e-ID n'est même pas encore votée qu'elle devient déjà progressivement obligatoire !
"C'est facultatif, ne vous inquiétez pas"
"Certains services l'exigent maintenant pour votre sécurité"
"Désolé, c'est devenu indispensable"
TOUS LES PAYS ONT SUIVI CE SCHÉMA - LA SUISSE NE FERA PAS EXCEPTION
90'000+ applications Android sont vulnérables aux attaques selon les experts en cybersécurité.
Stocker toute votre identité sur un smartphone = créer la cible parfaite pour les cybercriminels.
Un système centralisé offre une cible unique aux cybercriminels. Une seule attaque réussie = des millions d'identités compromises.
Chaque utilisation de l'e-ID crée une trace numérique permettant de reconstituer tous vos faits et gestes.
L'e-ID donne à l'État un pouvoir de vie ou de mort numérique sur chaque citoyen.
La Suisse dispose DÉJÀ d'un écosystème complet d'identités numériques. Pourquoi dépenser 180 millions de francs pour créer des risques supplémentaires ?
4+ millions d'utilisateurs actifs
✅ Authentification sécurisée
✅ Plus de 200 services l'acceptent
✅ Données stockées en Suisse
✅ Conforme RGPD et LPD
Coût pour l'État : 0 CHF
🔗 swissid.chDéployé depuis 2024
✅ Services publics fédéraux, cantonaux, communaux
✅ Authentification sans mot de passe
✅ Compatible avec les systèmes existants
✅ Pas de centralisation des données
🔗 agov.admin.chPremière solution certifiée par la Confédération
✅ Spécialisée e-Santé (DEP)
✅ Signature électronique haute valeur
✅ Solution OpenSource (transparence totale)
✅ Déploiement SaaS ou on-premises
🔗 trustid.chStandard académique établi
✅ Toutes les hautes écoles suisses
✅ Identité permanente (études et après)
✅ Compatible réseaux internationaux
✅ Contrôle par les institutions suisses
🔗 switch.ch/edu-idInfrastructure de sécurité mature
✅ Certificats numériques
✅ Signature électronique
✅ Managed PKI 24h/24
✅ Trust Service Provider agréé
🔗 SwissSign by La PosteÉcosystème concurrentiel
✅ DeepSign, eSignR, Skribble
✅ Innovation continue
✅ Choix et concurrence
✅ Pas de monopole d'État
✅ Adaptation aux besoins spécifiques
✅ Millions d'utilisateurs satisfaits
✅ Sécurité décentralisée
✅ Innovation concurrentielle
✅ Respect de la vie privée
✅ Coût zéro pour l'État
Ce qu'ils disent : "L'e-ID sera toujours facultative, vous gardez le choix."
La réalité : L'Autorité bancaire européenne recommande déjà de l'exiger pour les services financiers. Le caractère "facultatif" ne résiste jamais aux pressions économiques et réglementaires.
Ce qu'ils disent : "Vos données sont stockées localement, l'État n'y a pas accès."
La réalité : Chaque vérification nécessite une connexion aux serveurs centraux. Les métadonnées (qui, quand, où, pourquoi) sont collectées à chaque usage.
Ce qu'ils disent : "L'e-ID étatique sera plus sûre car développée selon les plus hauts standards."
La réalité : Les failles estoniennes et britanniques prouvent que même les systèmes les plus avancés sont vulnérables. La décentralisation est intrinsèquement plus sûre.
Ce qu'ils disent : "Le coût sera amorti par les économies administratives."
La réalité : Les solutions privées existent déjà et fonctionnent à coût zéro pour l'État. Ces 180 millions servent uniquement à créer un système de contrôle centralisé.
Une fois l'infrastructure en place, il sera IMPOSSIBLE de revenir en arrière.
Votre vote détermine l'avenir de la liberté numérique en Suisse.
"Dangereuse, liberticide et inutile"
"Bataille pour l'âme du numérique"
"Risques disproportionnés"
"Porte ouverte à l'autoritarisme"
UN NON POUR :
Tous les faits cités dans cette analyse sont vérifiables via les sources officielles ci-dessous :